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■ a învăța să dialoghezi cu sine sau cum să faci o breșă într-un zid interior
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2020-04-12 | [Acest text ar trebui citit în francais] | Înscris în bibliotecă de Guy Rancourt Si je pouvais croquer la terre entière et lui trouver un goût, j’en serais plus heureux un instant… Mais ce n’est pas toujours que je veux être heureux. Il faut être malheureux de temps à autre afin de pouvoir être naturel… D’ailleurs il ne fait pas tous les jours soleil, et la pluie, si elle vient à manquer très fort, on l’appelle. C’est pourquoi je prends le malheur avec le bonheur, naturellement, en homme qui ne s’étonne pas qu’il y ait des montagnes et des plaines avec de l’herbe et des rochers. Ce qu’il faut, c’est qu’on soit naturel et calme dans le bonheur comme dans le malheur, c’est sentir comme on regarde, penser comme l’on marche, et, à l’article de la mort, se souvenir que le jour meurt, que le couchant est beau, et belle la nuit qui demeure… Puisqu’il en est ainsi, ainsi soit-il… (Fernando Pessoa alias Alberto Caeiro, Le gardeur de troupeaux et autres poèmes d’Alberto Caeiro)
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